Cappuccino légume? Aujourd’hui, nous assistons à une époque où le lait animal est souvent remplacé par du lait végétal. Pouquoi? Que ce soit pour un choix dicté par une intolérance ou pour des choix éthiques dictés par une volonté de consommer moins – ou plus – de produits animaux, le monde du lait végétal se développe énormément tant à la maison qu’au bar. Aujourd’hui dans les rayons des supermarchés on trouve, parmi les plus connus, les laits d’avoine, d’amande, de soja, de riz et autres.
Pour ceux qui sont attentifs à l’environnement et veulent agir par de petits gestes quotidiens, la question se pose spontanément : le lait végétal peut-il vraiment faire la différence sur l’impact des émissions de CO2?
Qu’est-ce que le lait végétal
Le lait végétal est obtenu par pressage de céréales, d’oléagineux (noisettes, amandes…), de légumineuses (soja, pois) et de fruits secs plongés dans l’eau. Une fois filtré, le liquide devient du « lait ».
Beaucoup le préfèrent parce qu’ils veulent ou doivent éviter le lactose, bon nombre sont convaincus que les nouvelles boissons sont plus saines que le lait traditionnel. Mais il est toujours bon de lire les étiquettes et de connaître les bonnes marques à consommer.
Lait végétal : qui le travaille
Parmi les nombreuses entreprises présentes sur le marché, Alpro est une entreprise du groupe Danone certifiée BCorp et une marque pionnière de la nutrition végétale depuis plus de quarante ans. La vision de l’entreprise est de nourrir la planète, et elle opère dans le but d’apporter la santé par la nutrition au plus grand nombre tout en prenant soin de la planète. L’histoire d’Alpro a commencé dans les années 80 et depuis lors, la marque a été un pionnier de la nutrition à base de plantes.
En Italie, environ 22 millions de personnes consomment aujourd’hui des produits d’origine végétale, non seulement pour des raisons de bien-être personnel, mais aussi parce qu’elles les considèrent plus éthiques et durables. Choisir une alimentation à base de plantes peut faire une grande différence pour nous et pour la planète.
Le lait végétal a moins d’impact sur les émissions de CO2?
Une étude Alpro a utilisé la méthode internationale d’analyse du cycle de vie, régie par les normes ISO 14040 et 14044, pour étudier ses émissions de CO2. Les impacts environnementaux des produits et services au cours de leur cycle de vie ont été évalués, depuis l’extraction des matières premières jusqu’à tous les aspects de la production, de la distribution, de l’utilisation et de la fin de vie du produit. Six boissons UHT à base de plantes Alpro et trois produits à base de plantes fermentées ont été comparés à leurs équivalents laitiers (lait de vache demi-écrémé UHT et yaourt au lait de vache respectivement) sur le marché européen et ont constaté que ces les boissons végétales produisent -70% en termes de CO2 par rapport à leurs équivalents laitiers.
L’impact du CO2 d’un cappuccino végétal
ACBC, leader de la transformation et de l’analyse de produits dans le domaine « durable » a montré et confirmé son analyse de ce que pourrait être l’impact du CO2 ce que peut avoir un cappuccino végétal et comment il peut faire la différence en termes de réduction de l’impact des émissions de CO2.
ACBC, acronyme de Anything Can Be Changed, est une entreprise italienne leader dans la conception et la production de produits durables. Le modèle économique de la marque est orienté à la fois vers le marché B2B et vers le monde B2C, s’adressant à toutes les marques du secteur de la mode et du sportswear qui souhaitent entamer un processus de production conscient avec la création de collections capsules dédiées, mais aussi à travers leur propre collection de produits destinés au consommateur final qui souhaite disposer d’une alternative durable à ses achats. Pour cette raison, ACBC réalise une étude continue des matériaux, en mettant l’accent sur le respect des critères de durabilitésans oublier le style et les performances de la chaussure.