Une couverture signée par l’artiste Maurizio Cattelan avec une extraordinaire « vision » des athlètes Bebe Vio et Federica Pellegrini pour le nouveau numéro en kiosque. Et une édition numérique de 50 pages dédiée à Raffaella Carrà téléchargeable gratuitement sur le site et l’application : un hommage particulier à une femme vraiment inoubliable
« « Tu ne peux pas le faire », « votre corps ne vous laissera pas » : ce sont des phrases que j’ai entendues plusieurs fois, mais je n’ai jamais été découragée », dit-elle Bébé Vio, « J’ai été habitué à transformer la peur en quelque chose de positif, à la transformer en colère et le désir d’effacer les scepticismes ». Il ajoute Federica Pellegrini: « J’ai fait ce que j’ai fait, en commençant par les sacrifices, parce que j’aimais les affronter ».
Symbole de force, de détermination et de réussite sportive, Bebe Vio et Federica Pellegrini sont les protagonistes de la nouvelle couverture de Vanity Fair en kiosque à partir d’aujourd’hui mercredi 7 juillet. Une couverture exceptionnelle signée par l’un des plus grands artistes italiens : Maurizio Cattelan. Un projet créatif visionnaire, qui s’ouvre avec Bebe Vio et Federica Pellegrini flottant dans l’eau d’une piscine et qui se poursuit au sein du numéro et sur les réseaux sociaux avec d’autres images extraordinaires conçues par l’irrévérencieuse « star » de l’art contemporain.
Federica et Bebe ont toujours rêvé et combattu, entre tours et jabs, faisant de la volonté la clé de leurs triomphes. Et alors qu’ils s’apprêtent à s’envoler pour le Japon pour participer aux Jeux olympiques de Tokyo, ils racontent ce qu’ils ont appris pour arriver ici dans une longue interview-confession.
C’est une leçon qui ressort clairement aussi des témoignages des autres athlètes rencontrés par Vanity Fair pour ce numéro. Celle qui défilera lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux le 23 juillet sera l’équipe italienne avec le plus grand nombre d’apparitions féminines de l’histoire. Les « bleus » sont montés sur scène en réussissant toujours à vaincre les difficultés et les trop nombreux « tu ne peux pas » qu’ils ont entendus au cours de leur vie. Vanity Fair en a choisi sept. Sept histoires emblématiques qui, quelles que soient les courses au Japon, sentent déjà la victoire.
Le même genre de victoire que Vanity Fair a décidé de célébrer avec ses lecteurs à travers une nouvelle campagne sociale et un nouveau hashtag : #nondirminonpuoi. Tout comme les filles de l’équipe italienne l’ont fait pour nous, n’importe qui pourra raconter son expérience en énumérant les obstacles et les limites que d’autres ont placés sur le chemin qui mène à la pleine réalisation de soi.
Mais Vanity Fair ne pouvait s’empêcher de se souvenir de la disparition de Raffaella Carrà, une figure capable d’écrire l’histoire de la télévision et un chapitre fulgurant de notre culture populaire. Il le fait à travers une édition numérique spéciale de 50 pages, téléchargeable gratuitement depuis le site internet et depuis l’application à partir de l’après-midi du 7 juillet, qui propose à nouveau la couverture et la longue interview accordée par « notre » Raffaella à Vanity Fair en février. 2019, un numéro a marqué le nouveau cap du magazine qui l’a choisie comme symbole de la nouvelle aventure éditoriale. Et puis : une biographie en images, un portfolio avec la mémoire des personnes célèbres qui lui sont proches et une conversation avec la chanteuse Noemi, qui a travaillé avec Carrà pendant trois ans en tant que coach de The Voice of Italy. C’est un hommage à une femme incroyable qui, comme l’écrit la réalisatrice Simone Marchetti dans l’éditorial du numéro en kiosque, a traversé la culture et le divertissement italiens « en ouvrant des brèches là où il y avait des plafonds de verre et en ouvrant des horizons là où il y avait des murs. Salut, Raphaella. Tu vas nous manquer. Mais votre leçon reste ici. Pour toujours ».