Les bois et les forêts (et les océans) sont l’outil le plus naturel et à impact zéro dont l’homme dispose pour lutter contre les émissions de CO2 et atteindre zéro émission nette dans le monde
Il a eu lieu la semaine dernière à Bologne l’inauguration de la 214e année académique de l’Académie nationale d’agriculture. Le thème de cette année était la relation entre les émissions de CO2, environnement agricole.
L’avenir de notre pays est dans la défense de la biodiversité
La cérémonie a été ouverte par le professeur Giorgio Cantelli Forti, président de l’Académie nationale d’agriculture, qui il a souligné à quel point l’agriculture dispose d’outils indispensables pour maintenir l’équilibre environnemental des gaz polluants générés par les villes et les activités industrielles. « L’avenir environnemental de notre pays réside aussi dans l’extraordinaire excellence alimentaire qu’il faut défendre de la contrefaçon : nous devons encourager et protéger cette source économique indispensable de l’Italie qui favorise aussi la biodiversité de nos produits agricoles », rapporte le professeur, soulignant une nouvelle fois comment l’agriculture, et donc l’alimentation, joue un rôle clé dans ce processus de changement.
Les forêts sont nécessaires pour absorber le CO2
Le deuxième discours, du professeur Riccardo Valentini (membre du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, lauréat du prix Nobel de la paix en 2007), rapporte comment aujourd’hui les forêts jouer un rôle important dans la stabilisation du climat mondial en absorbant environ 30% des émissions de dioxyde de carbone, prédisant l’atteinte d’émissions nettes égales à zéro en 2050. Le sujet est d’une importance urgente aujourd’hui étant les arbres et les forêts, selon ce qui a été présenté par le professeur Valentini, le seul outil disponible et sans impact pour absorber les émissions de gaz. Actuellement, par exemple, l’industrie mondiale produit 86 % des émissions, mais parmi celles-ci, jusqu’à 56 % sont absorbées de manière naturelle par les forêts (31 %) et les océans (20 %), réduisant ainsi les émissions mondiales d’une manière qui Pour l’environnement. Pour que cela se fasse de manière vertueuse, l’homme doit prendre soin des forêts, des arbres qui en font partie, augmenter les surfaces boisées lorsque cela est possible et surtout les entretenir dans le temps afin qu’elles puissent pleinement accomplir leur tâche. Il ne suffit pas de planter des arbres, il faut que ceux-ci soient suivis.
Un prix de recherche
La cérémonie s’est terminée par la remise des Prix Filippo Re à Riccardo Fiorini – chercheur à la Faculté des sciences agricoles – qui a présenté une étude innovante pour augmenter la séquestration du carbone dans le sol et atténuer les émissions dans l’agriculture. Le prix Filippo Re – Economie, Société, Environnement et Territoire – est organisé en collaboration entre l’Académie nationale d’agriculture et Image Line et a été créé dans le but de promouvoir une évolution constante du rôle de l’agriculture dans l’économie du pays et les interactions de ce secteur avec ses dynamiques sociales, environnementales et territoriales.