Dans une clé aussi simple, le mari devient un objet à admirer, une pièce unique à voir et à manger. Comme le dit le chef : « son histoire la rend encore plus belle ». C’est un tentative astucieuse de jouer avec la traditiongardant – presque complètement – le fond inchangé, mais revisitant la forme.
La préparation
Pour le carré Maritozzo on part d’une pâte classique bien levé environ 50 grammescuit en un moule carré spécial acheté au japon, donc pas trivial à trouver. Une fois cuit, le Maritozzo est retiré, encore chaud, ouvert partiellement à farciret fourré d’une crème pâtissière aromatisée à la vanille de Madagascar bio et d’une chantilly avec une pincée d’écorce de citron, de la vanille et enfin un voile de mascarpone.
La réalisation est beaucoup plus facile que celle d’un Maritozzo classique, car ils sont créés deux moitiés pratiquement parfaites. Une huile d’olive Taggiasca aromatisée à la vanille sera bientôt ajoutée au mélange pour augmenter son arôme.
La réalisation
Ce dessert a été réalisé pour la première fois pour le livre « Parfait mais pas trop » que Fiorani a publié avec Giunti en 2020où son idée de la pâtisserie a été rendue accessible même à ceux qui veulent le pratiquer à la maison. Aujourd’hui la recette arrive à un moment particulier : la Petit-déjeuner de l’hôtel W où l’idée de Fiorani est réalisée par la pâtisserie résidente chef Cesare Murzilli. Clairement, en édition limitée.