Ces dernières années, les différents types de pizzas italiennes ou les préparations qui ressemblent à la pizza en termes d’ingrédients ou de forme (tout comme la pinsa romaine), ont suscité beaucoup d’intérêt. Il s’est avéré qu’il y a aussi d’autres pizzas à redécouvrir, en plus de la napolitaine. De la pizzonta des Abruzzes à la sfincione de Palerme, de la pizza à la poêle de Turin à la pizza à la tranche de Milan.
Rome a joué un rôle central dans cette phase de redécouverte. Avec ses trois types de pizza « native », c’est-à-dire la pizza à la poêle, la pelle et la ronde (rouleau à pâtisserie ou pas), la capitale est devenue une destination favorite des amateurs de pizza. Aussi parce qu’en plus des types qui ont eu une plus grande diffusion à Rome, il est désormais également possible de trouver des pizzerias contemporaines, des plats à emporter, des napolitaines, des pizzas frites, des pizzas sans gluten et bien plus encore. C’est précisément en ce moment de tourmente que l’histoire récente de la pina romaine est née.